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 Riku Parker [Histoire en Rédaction - Chapitre 1 terminé, reste deux]

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Riku Parker

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MessageSujet: Riku Parker [Histoire en Rédaction - Chapitre 1 terminé, reste deux]   Riku Parker [Histoire en Rédaction - Chapitre 1 terminé, reste deux] I_icon_minitimeMar 15 Sep - 5:45

▬ COMMENÇONS EN DOUCEUR.
    Riku Parker [Histoire en Rédaction - Chapitre 1 terminé, reste deux] Piggy_10 NOM & PRENOM : Riku Parker
    SURNOM : Un surnom? Son prénom n’est-il pas déjà assez court pour qu’elle n’ait besoin d’un surnom? Sans compter que, de toute façon, solitaire et indépendante comme elle l’est, il n’y a personne qui soit suffisamment près d’elle pour pouvoir se permettre de lui en donner un. Il est cependant à savoir qu’elle ne se présente que très rarement sous sa véritable identité, s’en créant régulièrement de nouvelles pour assurer ses arrières et faire en sorte qu’elle soit impossible à retracer. Enfin, elle est aussi connue des autorités sous le pseudonyme de Domino, en raison de la signature qu’elle laisse après chacun de ses délits.
    AGE : 18 ans, née un 26 octobre.
    ORIGINE & NATIONALITE : On peut dire qu’elle est d’origine japonaise puisque ses parents étaient tous deux nippons, mais elle a passé toute sa vie en Amérique.
    STATUT: Célibataire [X]; Et très indépendante, il est important de le noter. Elle n’a jamais réellement cherché à se mettre en couple avec qui que ce soit, et aime beaucoup trop la liberté que lui offre le célibat pour songer à s’en séparer.
    SITUATION FISCALE : Moyenne [X]; Elle est voleuse, certes, mais n’a pas grand-chose à faire des biens qu’elle peut amasser. Elle gardera le nécessaire pour vivre de manière relativement convenable, mais elle préférera semer la panique au sein de l’administration d’une banque que de récolter le butin, par exemple (Comment ça, « marginale »? Mes pauvres, vous n’êtes pas au bout de vos peines, attendez de voir le caractère…)
    ORIENTATION SEXUELLE : Hétérosexuelle [X]; Tout ce qu’il y a de plus habituel, après tout n’ayant jamais réellement songé à l’amour comme aux activités qu’il implique, si on peut dire, elle aurait difficilement pu se découvrir dans une autre orientation. Après, elle n’a pas plus pensé à expérimenter ces choses avec un homme qu’avec une femme, alors tout reste à voir…
    ORGANISATION & RANG : Indépendante, pour le moment du moins…
    CIBLE PRINCIPALE : Liquider? Oh, je n’irais pas jusque là, le meurtre ne figure pas réellement dans la liste de ses planifications et si elle pouvait ne jamais avoir à en commettre, elle ne s’en porterait pas plus mal.
    COMPÉTENCE CHOISIE : Le Vol; avec un grand « V ».
    THEME MUSICAL: Somewhere I Belong - Linkin Park



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MessageSujet: Re: Riku Parker [Histoire en Rédaction - Chapitre 1 terminé, reste deux]   Riku Parker [Histoire en Rédaction - Chapitre 1 terminé, reste deux] I_icon_minitimeMer 23 Sep - 5:05

▬ T’AS JAMAIS VOULU JOUER A L’APPRENTI FLIC ?
    CARACTÉRISTIQUES PHYSIQUE : Fins, délicats, ses traits laisseraient quiconque croire que l’on trouve derrière ce visage reflétant charme et douceur une personnalité tout aussi attrayante, et pourtant… ce sont souvent les roses les plus belles qui possèdent les épines les plus acérées. Relativement habile dans l’art du déguisement, il serait difficile de cerner le tempérament de l’orpheline en ne se basant que sur son apparence, mais puisqu’il faut bien commencer quelque part, il est à supposer qu’une brève description de son apparence… disons naturelle, lorsqu’elle n’est couverte d’aucun masque, s’impose. Il en va donc comme suit: D’origine japonaise, Riku est dotée d’une chevelure naturellement sombre, celle-ci penchant cependant sur des reflets roux lorsque le soleil consent à montrer le bout de son nez; quant à la manière dont elle les porte, il est à savoir que cela vari en fonction des période et de son humeur, mais qu’il est néanmoins plus fréquent de la voir les cheveux courts, puisqu’ils sont ainsi beaucoup moins encombrants au cours de ses cambriolages et qu’ils lui permettent, de surcroit, d’adopter plus facilement différents visages. Ses yeux, bridés et couleur ébène également, laissent constamment miroiter cette vivacité d’esprit et cette volonté d’exister, ce désir de liberté qui fait d’elle le curieux « petit monstre » qu’elle s’avère être, tout en étant imprégnés d’un certain mystère puisqu’elle sait se garder de laisser transparaître ses émotions au-delà de son regard. Sa peau satinée aborde un teint pêche, tirant très faiblement vers le mat en raison de ses origines asiatiques, et vient se confondre harmonieusement avec les fines lèvres de l’orpheline, ces dernières arborant une couleur mitigée entre le « peau » et le « rosé ».

    Quant à son style vestimentaire, les meilleurs qualificatifs pour le définir seraient sans doute « cocasse » et « personnel », puisque Riku s’éloigne autant que possible de tout ce qui fait attrait à la mode ou autres influences du genre, préférant les vêtements simples, sans superflus et, surtout, pratiques. Elle affectionne particulièrement les pantalons larges de style Cargo’ et les T-Shirt masculins pour le confort qu’ils offrent, qu’elle porte la plupart du temps dans des couleurs ternes ou variant dans des teintes de gris, de noir ou, plus rarement mais sait-on jamais, de blanc. Après… elle serait prête à enfiler bien des tenues pour parfaire jusqu’à l’aspect physique les diverses identités qu’elle se plait à emprunter, mais ne vous méprenez pas, il serait fort surprenant de la voir surgir vêtue d’une robe ou de quoique ce soit de ne serait-ce un tantinet aguicheur: Pudique comme elle l’est il faudrait vraiment que le jeu en valle la chandelle.

    Enfin, elle possède un uniforme particulier dont elle se munie au cours de chacun de ses vols; celui-ci est de couleur noir et couvre l’ensemble de son corps, venant se mouler parfaitement à sa silhouette pour s’assurer qu’aucun tissus pendant ne viendra déclencher accidentellement une alarme. Il ne laisse voir aucune parcelle de peau, enveloppant jusqu’à la chevelure, aux mains et aux pieds de l’asiatique pour que seule la zone des yeux n’en soit pas recouverte, et encore… celle-ci est malgré tout protégée par un matériel que l’on pourrait comparer à un filet à mailles très étroites qui masque normalement parfaitement son regard aux caméras de surveillance. Lorsqu’elle le revêt, elle ne porte jamais de chaussures, préférant « travailler » avec la sensation d’être pieds nus et ainsi plus libre de ses mouvements, plus silencieuse et furtive et, donc, plus efficace.

    Que dire de plus? Pour mettre une touche finale au tableau, précisions simplement que Riku n’est pas bien imposante, que ce soit par sa taille ou par sa carrure puisqu’elle ne fait pas plus de 1m55 pour environs 50 kilogrammes. Mais attention, malgré son apparence fragile elle ne s’en laisse pas imposer, sachant malgré tout encaisser les coups sans se plaindre à la moindre douleur et faire preuve d’un esprit combatif surprenant même lorsqu’elle se sait en désavantage; après tout, concéder la victoire serait beaucoup trop facile…

    CARACTÉRISTIQUES MORALE: Riku est, tel que désigné ci-haut, un personnage quelque peu… marginal. Jeune adolescente venant tout juste d’atteindre la majorité, elle a connu un parcourt qui lui forgea un caractère bien différent de ce que peuvent bien vouloir refléter les apparences, puisque derrière ce masque de douceur et de fragilité se terre un tempérament de feu qui ne demande qu’à être attisé. Ayant été contrainte à se débrouiller par ses propres moyens depuis son plus jeune âge, l’orpheline à développé une maturité et une conception du monde qu’ignorent encore nombre de ses ainés; Sa ligne de conduite principale? « Ne pas vivre, mais exister ». En effet, si ces deux mots sont pour beaucoup synonymes puisque, au premier abord, ils semblent tous deux signifier l’action d’«être», notre jeune voleuse leur accorde un sens tout autre, un sens personnel que nul ne saurait démentir. Partons du principe que, pour les uns, vivre est suffisant: Mener une vie dans les normes, réussir ses études, avoir un mari ou une femme, des enfants, une maison de taille moyenne et un boulot auquel on se rend chaque matin de semaine, pour finalement tomber à la retraite et mourir bêtement d’une maladie occasionnée par telle ou telle négligence survenue au cours de la jeunesse, le tout s’étain toujours déroulé selon les standards de la société, aux lois et aux règles qui les régissent et qui y sont imposées. Mais la nippone n’est pas de ceux qui parviennent à se satisfaire de ce genre de vie routinière, monotone et sans artifices; Riku à, et ce depuis que son esprit s’est ouvert au concept de désenchantement, décidé d’exister, de s’imposer ses propres règles et de ne s’en laisser imposer par nul autre, de suivre ses valeurs et non celles d’une société dirigée par de riches hypocrites, de vivre en ne dépendant que d’elle-même et de ceux à qui elle voudrait bien consentir à vouer du respect, de suivre sa propre voie, d’être libre dans ses actions et dans ses choix. Et chaque fois que l’occasion lui est donnée d’enfreindre une règle, de transgresser les lois, elle la saisit avec enthousiasme puisque cela représente pour elle la décision de se détacher encore davantage de cet univers qu’elle n’a jamais voulu intégrer, pour pénétrer dans un autre où elle est maîtresse de sa propre vie, où nul ne lui dicterait sa conduite et ne porterait atteinte à sa liberté. En d’autres termes, la criminalité est le chemin qu’elle a choisit d’emprunter et ce en toute connaissance de cause, par refus de conformisme avant tout, pour pouvoir se démarquer et façonner sa propre identité.

    Mais outre ce désir de liberté, il est également important de savoir que l’orpheline attache une importance singulièrement grande à son honneur et à sa dignité. Elle est particulièrement fière dans le sens où elle refuse de se voir méprisée ou sous-estimée par qui que ce soit en raison de son jeune âge ou encore de son allure frêle et délicate, et c’est pourquoi elle fera toujours tout pour se surpasser et épater qui ne reconnaîtrait pas son talent. Sa détermination est sans nul doute l’un de ses plus grands points forts puisque nul n’a, jusqu’ici, trouvé le moyen de l’ébranler, et pourtant, en ce trait de caractère réside également une faiblesse, car quelqu’un de moindrement stratégique comprendrait que le meilleur moyen de la piéger serait sans nul doute de la mettre au défi, sachant que ce tempérament orgueilleux et espiègle risquerait indéniablement de la faire foncer tête première dans l’embuscade. Il faudrait cependant pour cela que le dit « stratège » sache maîtriser l’art de la subtilité et de la manipulation, étant donné que Riku possède une maturité et une vivacité d’esprit hors paire pour une adolescente de cet âge et qu’il est, de fait, ardu de la tromper. Aussi, en poursuivant sur cette même optique, peut-être serait-il bon à savoir qu’une méthode efficace de lui faire perdre son sang-froid serait de la contraindre à un quelconque signe de soumission, particulièrement par les chaînes puisque, bien que pyrophobe, il y aurait de quoi se demander si la nippone craint davantage le feu à celles-ci en raison de l’humiliation et de toute la symbolique qu’elles représentent. Jamais elle ne pliera les genoux face à qui que ce soit, et la pire chose que vous pourriez lui faire subir serait certainement de parvenir à trouver le moyen de la domestiquer, mais attention, si vous croyez que sa faible force physique puisse rendre cette tâche aisé, vous risqueriez d’être désagréablement surpris…

    Enfin, pour en venir au troisième et dernier point principal de sa personnalité (car après tout, conserver un poil de mystère ne fait de mal à personne), il est impossible d’omettre de mentionner ce côté espiègle et joueur qui la démarque tant du troupeau, qui lui apporte ce petit quelque chose de plus. En effet, si le butin de ses nombreux coups ne l’importe que très peu, ce n’est non pas par soucis moral mais simplement parce qu’à ses yeux, si l’argent a déjà pu servir à quelque chose, ce ne fut qu’à pervertir encore davantage la nature de l’homme par l’avarice, et il s’agira assurément de sa seule et unique utilité qu’il connaîtra. Ne gardant que le nécessaire pour vivre confortablement et lui permettre d’orchestrer ses prochains délits, elle trouvera satisfaction dans l’acte et le défi qu’il représente bien plus que dans le butin récolté au bout du compte. Pour elle, plus une banque ou une bijouterie est bien gardée, plus il est intéressant de planifier sa mise à sec; en bref, plus la taille du défi est importante et plus celui-ci risque de l’enthousiasmer, n’allez donc pas espérer la repousser en tentant de l’impressionner, car vous provoquerez certainement la réaction contraire.

    GOÛTS : Ce qu’elle aime? Oh, mais tant de choses, si vous saviez… Sur le plan caractériel, elle aime bien entendu se surpasser, outrepasser les limites, provoquer et désobéir (eh bien quoi? Elle refuse d’être dirigée par quiconque, ne serait-il pas quelque peu illogique qu’elle soit de ceux qui aiment, ou tout du moins acceptent de se plier aux règles?). Ses principaux intérêts se situent dans tout élément pouvant potentiellement représenter un défi, c’est pourquoi elle aime particulièrement effectuer des vols, activité qu’elle considère comme le délit le plus « artistique » d’entre tous, en raison de la finesse et de la précision qu’il nécessite.

    Néanmoins, pour s’attaquer aux choses qui relèvent davantage du domaine du classique, parlons goûts généraux: Elle aime avant tout apprendre et expérimenter, ce pourquoi elle démontre diverses habiletés dans nombre de domaines même si certaines sont considérablement moins prononcées que d’autres. Elle aime la nature et tout ce qui s’y rapporte, et s’y sent bien plus dans son élément que lorsqu’elle se retrouve dans l’une de ces grandes villes du continent américain, qui se ressemblent toutes et qui n’apportent rien de bien fascinant à son désir d’apprentissage et de découverte. Côté culinaire, elle s’avère plutôt polyvalente, se plaisant à pratiquer la cuisine elle-même dans l’intimité, elle n’hésite pas devant de nouveaux plats et de nouvelles saveurs, même si elle a en réalité un fort penchant pour les pâtes et la cuisine asiatique. Côté préparation, cependant, elle aime plutôt cuisiner des plats d’origine Italienne ou qui possèdent des goûts s’y apparentant; entrées ou plats principaux, tout y passe dès que l’occasion se présente.

    Aussi, chose curieuse penserez-vous, mais elle a également un goût pour tout ce qui est susceptible de lui causer des ennuis; elle ira parfois jusqu’à s’imposer elle-même diverses difficultés pour rendre la « partie » plus intéressante et divertissante, puisqu’elle agit en permanence comme si tout n’était pour elle qu’un jeu, considérant qu’elle n’a rien à perdre, elle cherche avant tout à s’amuser et à se surpasser. Pour elle, donc, tel qu’indiqué plus haut, plus le défi est grand ou plus il implique de grandes conséquences, plus il sera probable qu’elle cherche à le relever, vous comprendrez donc que ne sont ni les systèmes d’alarme, ni les gardes du corps qui risquent de l’intimider.

    Bref, les choses simples sont celles qui attire d’ordinaire le plus son attention, du moment qu’elles lui permettent d’explorer de nouveaux horizons, de sortir de la routine et de connaître une existence davantage palpitante.

    UNE CITATION CAPABLE DE TE DECRIRE: « Souvent, on se plait à respirer la douceur des roses, s’abandonnant à leur majesté et leur délicatesse pour ne se souvenir que celles-ci possèdent des épines qu’au moment où, téméraires et imprudents, nos doigts ne s’en voient transpercés pour avoir cherché à en cueillir la tige… »
    TA VISION DU MEURTRE: Appartenant au monde criminel depuis maintenant plusieurs années déjà, on peut dire que, sans pour autant y être indifférente, Riku a parfaitement conscience que le meurtre fait parti des choses de ce monde qui, malheureusement, ne connaîtront jamais de fin. De fait, apprendre que vous êtes ou même étiez un assassin risque davantage de provoquer chez elle un simple haussement d’épaules que de la faire fuir. Cependant, assister à une scène de ce type risquerait malgré tout de la déstabiliser, puisque même en étant consciente de la nature fondamentalement destructrice de l’homme, entre le concevoir et en être témoin, il y a tout de même une large différence; de fait, vous devinez qu’en commettre un d’elle-même n’est assurément pas une idée que vous retrouverez dans sa ligne de planifications.
    TA PLUS GRANDE PHOBIE: « Domino » est Pyrophobe; Elle ignore d’où lui vient cette peur instinctive du feu exactement, n’ayant jamais subit de traumatisme en lien avec cet élément au cours de son enfance, mais cette crainte est indéniablement encrée au plus profond d’elle-même. Une simple flamme posée trop près d’un objet inflammable (ou d’elle-même, évidemment) suffit à la mettre mal à l’aise, et son angoisse croît généralement en fonction de la taille de cette dernière. Pour les esprits vicieux, sachez qu’il s’agit certainement du meilleur moyen pour parvenir à modérer ses ardeurs et son tempérament réfractaire…


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MessageSujet: Re: Riku Parker [Histoire en Rédaction - Chapitre 1 terminé, reste deux]   Riku Parker [Histoire en Rédaction - Chapitre 1 terminé, reste deux] I_icon_minitimeVen 2 Oct - 23:36

▬ MAINTENANT, CRACHE LE MORCEAU.

CHAPITRE I
« Ne crains plus d'exister; l'avenir, c'est l'enfance!
Le plus vieux souvenir, la plus jeune espérance,
Sont deux frères jumeaux, aux pas silencieux,
Qui se mirent dans l'âme en marchant dans les cieux
    L’Univers se divise en deux simples principes fondamentaux, qui englobent tout le reste et régulent chacune de nos actions, chacune de nos décisions: Le Bien et le Mal. Depuis toujours ces deux principes s’opposent par le biais des êtres vivants peuplant notre monde, engendrant des conflits et des guerres sous le prétexte de principes trop souvent prémâchés et artificiels, pour des valeurs mensongères, masques illusoires d’une quête égoïste de sens et de grandeur. Cette opposition où tous prétendent faire le bien tout en accusant autrui de faire le mal est depuis longtemps chose intègre à notre humanité, seulement… depuis peu, une idée nouvelle vit le jour, d’abord comme un murmure faible et controversé, puis grandissant peu à peu jusqu’à s’élever pour devenir une voix: l’idée que ces deux antagonismes ne seraient peut-être pas, tout compte fait, aussi indissociables que l’on se plut à nous le faire croire; que tout ne serait peut-être pas blanc ou noir, mais qu’il y aurait, pourquoi pas, également des zones de gris…

    On ne choisit pas de naître « bon » ou « mauvais », pas plus que l’on choisit de voir le jour dans la richesse ou la pauvreté. On ne choisit pas non plus d’avoir une vie aisée ou de d’être confronté à nombre d’intempéries, ou encore de compter réellement pour quelqu’un ou de demeurer inconnu jusqu’à la fin de nos jours. Et pourtant, malgré ce que laissent croire les circonstances, il n’appartient qu’à nous de prendre en main notre destin et de le façonner selon nos envies, d’en faire une œuvre à notre image; Ce que certains – peut-être par paresse ou par ignorance – remettront aux mains de la fatalité, moi, je l’ai saisit avec enthousiasme, j’ai pris en main mon destin pour que personne jamais ne puisse s’en prétendre maître, qu’il n’appartienne à nul autre que moi-même; Je suis une zone de gris. Un point, une parcelle d’importance négligeable peut-être, mais une zone de gris tout de même, extérieure aux statistiques et dénudée de carcan; ambitieuse, libre.

    Je vis le jour dans un milieu que l’on pourrait qualifier de « défavorable ». Ma mère biologique était une prostituée qui eut la malchance de tomber enceinte, quant à mon père, je ne sais trop qui il était et je dois dire que cela m’importe peu, sans doute l’un de ces vieux fonctionnaires trop occupés par leur carrière et leur ascension à l’essaim de la société de consommation pour être même en mesure de penser à avoir un réel engagement avec une femme. Quoi qu’il en soit, aussi clémente fut-elle de me supporter jusqu’à arriver au terme de sa grossesse, ma mère me plaça dans un orphelinat sitôt que l’occasion lui en fut donnée, probablement pressée de se débarrasser de cet indésirable qui l’avait empêchée de travailler pendant déjà trop longtemps. C’est dans ce lieu que je passa la plus grande partie de mon enfance, souvent réprimandée pour mon comportement distant à l’égard des autres enfants sans que celui-ci ne se voie corrigé pour autant. J’ai toujours possédé, je dois bien l’avouer, un tempérament quelque que peu associable, ayant depuis mon plus jeune âge cherché à me démarquer, à me détacher de la meute pour pratiquer des activités solitaires, en évitant autant que possible pouvait se faire de me mêler aux autres orphelins. Je ne parlais que très peu et pouvais passer des après-midis entiers perchée dans un arbre, à observer les autres enfants s’amuser dans la grande cour, si bien qu’on aurait dit que les gouvernantes se sentaient obligées de m’intégrer à un groupe dès qu’elles s’en sentaient capables, comme si mon isolement relevait d’une incapacité à socialiser et non d’un choix personnel.

    Je ne compris jamais, d’ailleurs, pourquoi elles m’accordèrent tant d’attention, à moi qui ne leur cherchait pourtant que des misères. Car outre ce côté associable, je possédais également ma part de marginalité puisque chacune de mes actions était guidée par cette recherche d’indépendance et de détachement, optique qui m’encourageait trop souvent à vouloir violer les normes, et donc les règles. D’où me venait cette nature démesurément réfractaire? Excellente question, à laquelle je ne saurais sans doute répondre moi-même de manière exacte; Peut-être était-ce dû à cette conscience du désir de la société de nous mouler dans cet emporte-pièce de bons citoyens, de nous uniformiser, de limer minutieusement chaque retaille indésirable jusqu’à ce qu’il ne reste plus qu’une forme parfaite, identique aux autres et démunie de personnalité. Peut-être m’étais-je rendue compte que, si peu développée cette pensée ait pu être à l’époque, je n’aspirais pas à cet avenir aisé et tout tracé auquel semblaient vouloir m’initier les gouvernantes. Oui, au fond, peut-être n’avais-je simplement pas envie d’être… un pain d’épice de plus, prédestiné à finir sous les crocs d’une société hypocrite et matérialiste?

    Quoi qu’il en soit, je me mis bien vite à cumuler les bêtises, d’abord anodines puis gagnant en ampleur au fil du temps sans que je ne parvienne cependant à franchir la limite du « tolérable », comme si une quelconque appréhension me maintenait toujours sous son joug malgré cette flamme de témérité qui brûlait en moi et qui ne demandait qu’à être attisée. Ce n’est que vers l’âge de dix ans que la platitude déconcertante vers laquelle semblait obliquer mon avenir prit un nouveau tournant, quand je poussa un peu plus loin le jeu de l’indiscipline pour m’aventurer vers un univers dont j’ignorais encore l’importance manifeste: Je commis alors mon premier délit, certes naïvement puisqu’il ne cachait guère d’intentions foncièrement mauvaises mais qu’il n’avait pour unique but que celui de me permettre de narguer l’autorité de mes tutrices une fois encore, chose qui m’obligea aux corvées forcées pour un mois mais qui, par extension, engendra également une rencontre que, ma foi, les Grées m’avaient bien dissimulée…

    J’accepta silencieusement le pénitence que me valut ma désobéissance et ma désinvolture, sachant d’ors et déjà au moment de commettre cet acte quelles en seraient les conséquences. Mais celles-ci m’importaient bien peu: la consternation des gouvernantes valaient toutes les sanctions qu’elles étaient en mesure de m’infliger. Je passa donc une première semaine à faire les courses, le linge, la vaisselle après chacun des repas sans manifester la moindre protestation; après tout, de quoi aurais-je pu me plaindre? J’étais exempté des activités de groupe, des sorties de même genre, et je me retrouvais isolée, enfin tranquille. Bref, si ce n’était des corvées, cette situation était celle que j’avais toujours cherché à gagner; oui, on aurait même pu dire que cette sanction m’accommodait, en quelque sorte, mais puisque rien ne se déroule jamais comme on oserait le souhaiter…

    Il arriva par un soir d’octobre, à la manière d’une tâche d’encre sur le manuscrit idéaliste qu’était devenue ma condition de morigénée. C’était un orphelin de la pension qui, si je ne m’abuse, était arrivé avant moi, mais auquel je n’avais jamais vraiment accordé plus de considération que je l’avais fait pour les autres; Il n’était ni trop grand, ni trop costaud, probablement approchant la quinzaine, cheveux bruns, yeux verts… dans les standards, en résumé. Mais il se trouva que ce quelconque anonyme écopa de la même sanction que moi, ce soir là, pour une raison que j’ignorais encore et qui m’importait peu, à dire vrai. La seule chose que je fus en mesure de constater était que la soirée tranquille et en paix à laquelle j’aspirais venait de me filer entre les doigts, et pour cause, cet enquiquineur qui survenait sans prévenir.

    Notre première rencontre fut, par ailleurs, plutôt à l’image de l’impression primaire qu’il m’avait laissée : Après que les gouvernantes lui eurent expliquées qu’il serait de corvée de vaisselle – comme si les piles d’assiettes n’avaient pas suffit à le lui faire comprendre – elles quittèrent la pièce sans plus de cérémonies, me laissant seule avec lui. Il ne tarda pas bien longtemps avant de se manifester, laissant échapper une première phrase que je me contenta d’ignorer; ceci résuma le reste de la soirée, au cours de laquelle je m’adonna à ma besogne tout en le laissant faire la conversation, puisque parler tout seul semblait, à en croire les apparences, être pour lui une occupation fort épanouissante. Mais ma fierté me tendit un piège, puisque je ne m’aperçus pas – refusant de me l’avouer à moi-même – que si je n’avais donné de réponse à aucun de ses commentaires, je n’y avais pas non plus été totalement indifférente… puisque derrière cette apparence détachée que je donnais en me concentrant sur la plonge, aucun de ses mots ne m’avaient échappé. Je n’irais pas jusqu’à dire que j’étais fascinée, non. Mais je l’avais écouté, ce qui était en soit un bon début, d’abord distraitement, certes, mais l’attention que je lui portais grimpa petit à petit tandis qu’il me faisait part de ce qui lui avait occasionné cette sanction; quelques « fugues » à répétition (ou c’est du moins ainsi que les gouvernantes nommaient l’acte de passer quelques nuit à l’extérieur sans donner de nouvelles).

    Il ne semblait pas réellement se préoccuper du fait que je ne partageais pas son intérêt pour la conversation, posant une question par-ci, une autre par-là comme espérant recevoir une once de participation, mais n’insistait pas plus lorsqu’il constatait que je semblais déterminée à demeurer muette. Au bout d’une petite heure, nous étions parvenus à nettoyer l’ensemble de la vaisselle, et il ne fallut que quelques minutes de plus avant qu’il ne se dirige vers la porte, laissant échapper un bref « Au plaisir, gamine! », ponctué d’un sourire que j’eus un peu de mal à interpréter, avant de la passer pour disparaître de l’autre côté. Je demeura seule derrière le comptoir de la cuisine, regardant la porte se refermer tranquillement, sans comprendre pourquoi cette soirée n’avait pas, finalement, été aussi désagréable j’avais pu m’y attendre…



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MessageSujet: Re: Riku Parker [Histoire en Rédaction - Chapitre 1 terminé, reste deux]   Riku Parker [Histoire en Rédaction - Chapitre 1 terminé, reste deux] I_icon_minitimeJeu 5 Nov - 7:31

CHAPITRE II
« Ange de bonté, connaissez-vous la haine,
Les poings crispés dans l’ombre et les larmes de fiel,
Quand la Vengeance bat son infernal rappel,
Et de nos facultés se fait le capitaine?
»
    Il était parvenu à m’amadouer; Plus les jours passaient, et moins je ressentais le besoin de me montrer distante, inaccessible comme je l’avais toujours fait. Il s’était servi de ma curiosité comme d’une arme pour enfoncer la Grande Muraille que j’avais préalablement érigé en guise de protection, et la faille qu’il avait créée s’était effritée un peu plus chaque jour pour finalement laisser place à un trou béant qu’il utilisa comme porte d’entrée. Et moi, curieusement, je m’étais laissée approcher, à la manière d’un animal sauvage, mais approchée malgré tout: D’abord craintive, je le laissais prendre place à mes côté en feignant l’indifférence, il me racontait ses histoires et faisait la conversation comme il l’avait fait au cours de notre première rencontre. Mais le temps vint bien vite où je ne compris plus les raisons pour lesquelles je m’évertuais encore à ne lui témoigner aucun intérêt tandis que, même si ce fut à mon grand étonnement, j’écoutais scrupuleusement chacune des anecdotes qu’il me partageait. Mais ce qui m’épatait le plus était la patience et l’acharnement avec lesquels il revenait me voir chaque jour, comme s’il se disait que mon silence importait peu, peut-être même était-il convaincu que je finirais par parler, qu’à force d’insister passivement je finirais par hisser le drapeau blanc?

    Plusieurs semaines s’écoulèrent ainsi, je croyais parvenir à maintenir ma position jusqu’à ce que, spontanément, je ne laisse échapper une courte phrase en réponse à l’une de ses questions; les mots s’étaient glissés entre mes lèvres comme des couleuvres entre les barreaux sans que je ne sache les retenir, et je m’empressa de relever la tête vers lui sitôt que je constata ma bêtise, comme espérant qu’il n’ait rien entendu, pour ne voir qu’un mince sourire se dessiner sur ses lèvres tandis qu’il avait cessé de parler, victorieux, et surtout amusé. Pourtant, il semblerait que mon orgueil m’avait fait faux bond ce jour-là, puisque je ne trouva même pas moyen de m’offusquer de la satisfaction évidente qu’il vouait à ma défaite. Je souris simplement avec lui, l’air embarrassée.

    ***

    Une fois la glace brisée, je n’eu officiellement plus aucune raison de soigner fièrement cette image d’orpheline indépendante et détachée; j’avais perdu la partie, et m’avouer vaincue face à lui ne m’importunait que très peu. Bien entendu, ayant toujours possédé un orgueil développé, je me voyais déçue et surtout étonnée de m’être si naïvement fait avoir, mais après tout… Bien que j’ignorais encore pourquoi, il y avait quelque chose chez Andrew – c’était son nom – qui me donnait l’impression de me trouver face à un miroir – au plan caractériel, entendons-nous. Il possédait ce même goût pour l’insubordination, ce même plaisir du jeu, ce même refus de l’autorité et cette même indépendance qui avaient fait parti de moi depuis aussi loin que je me souvienne. Car oui, outre le fait qu’il allait vers les gens avec une facilité déconcertante tandis que, de mon côté, je ne fréquentais alors que lui, nous étions pratiquement en tous points semblables, et c’est de cette similarité psychologique qu’allait naître une amitié qui ne pourrait être égalée par aucune autre.

    À l’orphelinat, nous étions inséparables. Et les gouvernantes, si elles avaient toujours cherchées à m’intégrer au groupe, ne savaient trop si elles devaient se réjouir d’une telle relation ou s’en inquiéter; car nous faisions tout ensemble, oui, mais les bêtises comprises… Il avait toujours été le mouton noir de l’orphelinat, et moi, vilain petit canard, voilà que je devenais son apprentie, de quoi appréhender la suite des choses sur le plan de la discipline.

    Au bout d’un mois ou deux, nous étions comme frère et sœur; Je rencontra progressivement plusieurs de ses amis au cours de soirées diverses, et je m’intégra relativement vite à la meute, chose curieuse vu mes antécédents, mais il semblait que la carapace que je m’étais forgée étant jeune ne m’était plus d’une grande utilité, à ses côtés. Ils étaient tous dans la même tranche d’âge environs, ayant tous entre 16 et 18 ans tandis que je n’en avais que 12, si ce n’était de Damien, l’aîné du groupe – puisqu’il avait, à l’époque, 21 ans – avec qui j’avais un peu moins d’affinités, mais peut-être était-ce dû à notre plus grande différence d’âge, après-tout. Ils représentaient assez bien le tableau typique des adolescents des rues, et c’est exactement ce qui me plaisait; jeunes, espiègles, révoltés et délinquants, les soirées que nous passions ensemble n’étaient pas de tout repos, mais qu’est-ce qu’on s’éclatait! Peu importe ce que nous faisions, j’y retrouvais ce sentiment aphrodisiaque de liberté qui me manquait chaque fois que nous devions rentrer à l’orphelinat, où nos tutrices n’avaient bien entendu aucune idée de la nature de nos activités nocturnes, et n’était en mesure que de nous infliger quelques punitions et réprimandes, bref, rien de suffisamment dissuasif pour que j’accepte de renoncer à cette drogue.

    Je grandis davantage à leurs côtés qu’à l’orphelinat, et inutile de dire que, au beau milieu d’une petite troupe de délinquants, je fus vite initiée à l’univers du crime. Oh, au commencement, ils ne faisaient rien de très sérieux, principalement des cambriolages sans grande importances – le dépanneur du coin, par exemple - mais l’intérêt venait du fait que, même après un certain nombre de délits, ils ne s’étaient pas faits épingler. À quoi était dû un tel succès pour ce qu’on aurait cru être des amateurs? La réponse se résume en un mot: Damien. Il était le plus âgé du groupe, et également le plus expérimenté. Malgré son âge, son dossier était déjà fortement impressionnant, puisqu’il était le neveu d’un oncle dont il ne nous parlait que très vaguement mais qui, semblait-il, avait une importance considérable au sein du monde criminel. C’est de lui qu’il tenait toute son expérience, et qu’il la partageait maintenant à la meute comme l’avait fait pour lui son mentor.

    Sans qu’ils ne me laissent, au départ, participer à leurs forfaits, Andrew et les autres ne se gardaient cependant pas de m’enseigner tout ce qu’ils savaient, obligés qu’ils étaient de constater mon intérêt pour la chose. J’absorbais chacune de leurs paroles, chacune de leurs histoires, chacun de leurs conseils avec une telle passion que je n’en perdis rien, que je ne laissa aucun détail m’échapper. Les erreurs qu’ils avaient commises, les stratégies qu’ils avaient établies, la logique qui était maîtresse de chacune de leurs réflexions, toutes ces choses me serviraient un jour, j’en avais la certitude; Je commettrais moi aussi ces délits, et non seulement je le ferais, mais j’excellerais, comme eux; comme Andrew.

    Les années passèrent ainsi jusqu’à ce que j’atteigne mes 15 ans, et avec le temps, ce qui avait été à l’origine une vulgaire manifestation de l’esprit dissipé de quelques adolescents avait prit de l’ampleur, et de l’importance. De petits délinquants, ils étaient passés au titre de criminels, ne se contentant plus des délits mineurs et fréquemment commis par les amateurs; il leur fallait quelque chose de plus intéressant, un défi qui soit plus éprouvant. C’est ainsi qu’ils basculèrent vers le vol, la fraude – ou devrais-je plutôt dire « nous » puisque j’avais rejoins les troupes de manière active depuis alors près d’un an. Il y eut également un peu de ce que l’on pourrait appeler du « trafic léger », l’idée étant que nous servions occasionnellement d’intermédiaires pour l’échange de marchandises diverses, les contrats provenant la plupart du temps de l’organisation de « l’oncle ». À l’orphelinat, les gouvernantes ne se souciaient plus de l’endroit où nous pouvions bien passer la nuit ou même des activités auxquelles nous pouvions prendre part. Avec le temps, elles semblèrent même se réjouir de nous voir si liés, comme frère et sœur, et l’âge que nous avions nous apportant une certaine autonomie, elles n’avaient plus le souci et la protection que l’on accorde naturellement aux jeunes enfants. Elles nous offraient le gîte, la nourriture, et le seul acte de présence auquel elle nous obligeait à prendre part était au moment des cours; du reste, elles nous savaient suffisamment indépendants pour occuper nos journées, et elles avaient de toute façon bien trop d’orphelins sous leur tutelle pour être en mesure d’accorder davantage d’attention à deux enquiquineurs de première.

    Bref, mon appartenance à cet univers synonyme de liberté et d’épanouissement croissait de jours en jours, et les seules règles aptes à régir cet idéal étaient celles que je choisissais de m’imposer; J’étais sur un nuage, à ma place comme je n’aurais pu l’être nulle part ailleurs, mais l'imprévu a ses charmes mais il est perfide, et que de désagréables surprises, cruelles même, il recèle souvent...

(À POURSUIVRE;
CHAPITRE NON-TERMINÉ)


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MessageSujet: Re: Riku Parker [Histoire en Rédaction - Chapitre 1 terminé, reste deux]   Riku Parker [Histoire en Rédaction - Chapitre 1 terminé, reste deux] I_icon_minitimeDim 8 Nov - 5:18

▬ FAIS-VOIR TA QUINCAILLERIE.

    ARMES A FEU : Aucune, elle ne juge pas nécessaire de s'en procurer.
    ARMES BLANCHES : Elle ne possède qu’un simple poignard, ou couteau tout dépendant de l’usage qu’elle en fera. Celui-ci ne mesure pas plus de 25cm de long, manche compris, il ne s’agit donc bien entendu pas d’une arme redoutable, mais elle n’en demeure pas moins suffisante pour ce qui est de défendre, sans compter qu’elle peut s’avérer utile pour bien d’autres besognes. L’orpheline le porte sur elle en permanence, que ce soit à sa ceinture lorsqu’il n’y a nul besoin de le cacher ou solidement lié à l’une de ses cuisses, dans son étui, toujours. Elle y attache une profonde valeur et ne s’en séparerait pour rien au monde, cette arme lui venant de la seule personne qu’elle n’a jamais su aimer. Voici une petite image, afin que vous puissiez mieux le figurer:
    Spoiler:
    VEHICULE : Aucun, elle préfère « emprunter » ceux des autres lorsque l’occasion s’y prête.

▬ T’ES QUI EXACTEMENT ?

    PSEUDO : MiKy', c'est ainsi qu'on me surnomme généralement. =]
    AGE : Tout juste 18 ans.
    TU PENSE QUOI DU FORUM & DE SON DESIGN : Pour citer un MP que j’ai déjà envoyé à M’sieur Azzaro : « J’ai craqué… é.è ». Franchement, lors de la demande de partenariat sur Exil je me suis dit « Rooh, trop dommage que je ne puisse pas m’inscrire sur de nouveaux forums… », mais il n’a fallut que quelques jours pour que je me mette à réfléchir à un personnage et pas plus d’un ou deux de plus pour que je ne m’inscrive…
    COMMENT TU NOUS AS CONNUS : Par une demande de partenariat qui s’est faite sur mon forum, je n’ai qu’à lire le contexte une fois pour en tomber littéralement amoureuse, alors du coup… me voilà, encore un peu plus overbookée que je ne le suis déjà en temps normal, mais me voilà. x)
    SERIEUX, TU COMPTE PARTICIPER : Au maximum, c’est certain, je ne me suis pas inscrite pour déserter ou jouer au membre fantôme, mais comme mon inscription relève pratiquement d’un sursaut de masochisme (dans le sens où j’avais déjà un emploi du temps monstrueusement chargé, tant que je ne pouvais techniquement pas me permettre un forum en plus, et pourtant…)… Je passerai certainement tous les jours à moins d’avoir un grand empêchement, même si ce n’est que pour lire vos RPs ou les autres messages, quant aux réponses, je ne peux dire exactement à quel rythme elles viendront comme il en va en fonction des périodes, mais je peux malgré tout dire que je m’occupe toujours de mes RPs dès que j’en ai l’occasion, et que même si cela peut parfois prendre du temps avant que vous n’obteniez la suite d’un sujet, je n’oublis jamais mes partenaires, j’ai seulement parfois trop de choses à faire pour les cours, le boulot, etc… é.è
    OK, ALORS BALANCE LE CODE :
    Spoiler:

    ET LE NOM DU GARS/DE LA NANA SUR TON AVATAR : Ai Otsuka
    TEXTE A METTRE SOUS TON AVATAR : « Catch me if you can »
    T’AS ENCORE UN TRUC A DIRE : Seulement un petit mot pour les administrateurs; Honnêtement, votre forum est très complet et très attrayant, je voulais simplement vous souhaiter une excellente continuation. Un forum n’est pas facile à lancer, mais une fois qu’il a eut une bonne poussée vous verrez que ça va mieux, et le vôtre est vraiment très prometteur, je ne m’en fais pas pour son avenir. =]

    *PETIT PLUS: Voici un exemple RP, pour les curieux. ^^
    Je vous rassure, ils ne sont pas toujours aussi étendus (en général je vais faire d'une à deux pages Word), mais mon partenaire RP avait fait en sorte qu'il se passe beaucoup de choses dans son poste (qui précédait celui-ci), donc... j'ai couvert du côté de MiKy, mon personnage sur Exil. é.è J'ai choisit ce RP comme il illustre assez bien son caractère (sa détermination, en tout cas), et puisqu'elle en possède un fortement semblable à celui de Riku... ^^

    Petite mise en contexte: Ethan (mon partenaire RP et maître de MiaKym) vient de lui faire passer deux jours de "tortures loufoques" en isolement, et au moment où il entre dans la cellule au troisième, il se prend un coup de pied dans les côtes, gracieuseté de MiKy qui en profite pour se faire la malle. Bon malheureusement elle est dans les sous-sols, se prend une porte fermée... enfin bref, voici la suite, pour les intéressés. ^^
    Spoiler:
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