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 Eileen Di Calvetti - Second Admin

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Eileen Di Calvetti
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MessageSujet: Eileen Di Calvetti - Second Admin   Eileen Di Calvetti - Second Admin I_icon_minitimeMar 1 Sep - 1:40

    ▬ COMMENÇONS EN DOUCEUR.

      Eileen Di Calvetti - Second Admin Eva03
        NOM & PRENOM : DI CALVETTI Eileen
        SURNOM : Aucun
        AGE : 26 ans
        ORIGINE & NATIONALITE : Italienne
        STATUT : Célibataire [X] En couple [] Marié [] Divorcé []
        SITUATION FISCALE : Pauvre [] Moyenne [] Riche [X] Démesurément riche []
        ORIENTATION SEXUELLE : Hétérosexuelle [X] Bisexuelle [] Homosexuelle []
        ORGANISATION & RANG : Cosa Nostra
        CIBLE PRINCIPALE : Celle que me désignera le Don. Mais il est bien évident que les Russes sont les premiers sur la liste.
        COMPÉTENCE CHOISIE : Charme
        THEME MUSICAL : Sirenia - The Mind Maelstrom



    ▬ T’AS JAMAIS VOULU JOUER A L’APPRENTI FLIC ?

      DESCRIPTION PHYSIQUE :
      Eileen est un femme plutôt gâtée par la nature. Sans même porter de talons, elle atteint la taille d’un mètre soixante-douze. Elle arrive donc facilement au mètre quatre-vingt si elle en porte. Même après une soirée du nouvel an, Eileen ne se pèse pas, elle ne sait d’ailleurs absolument pas combien elle pèse. Elle n’en a de toute façon, nullement besoin. Pratiquant la danse, elle possède des jambes quasi parfaites et un corps musclé comme il faut, là où il le faut. Aujourd’hui, elle aime porter des vêtements qui la mettent en valeur, ce qui n’était pas son cas lorsqu’elle était plus jeune et portait des fringues larges de mec. Elle a pris conscience qu’elle pouvait plaire vers dix-neuf ans et ne lâche plus ses tailleurs et jupes depuis cette période. Même si au fond d’elle, elle reste une petite rebelle garçon manqué. Question maquillage, il s’agit toujours de la même chose. Des yeux charbonneux permettant à ses prunelles azur de ressortir et des lèvres continuellement couleur vermeille, ce qui permet d’accentuer son côté « femme fatale ». De plus, elle possède un teint de porcelaine qu’elle évite de trop exposer au soleil de Miami. Eileen porte souvent ses cheveux lâchés ou emprisonnés dans un chignon. Sa chevelure passe d’ailleurs par différentes teintes, allant du châtain au noir de jais, en passant par un rouge sombre. Eileen aime être élégante, et cela se ressent dans son style tout entier ainsi que dans sa façon d’être. Vous la verrez très rarement sans talons aiguilles, qu’elle porte un simple pantalon ou une jupe. Cependant, elle apprécie beaucoup le changement. Le reste de sa garde robe est assez simple et sombre. Les serres tailles ou corsets sont très appréciés, tout comme les vêtements moulants. Ce n’est pas pour se montrer loin de là - même si elle aime plaire - c’est tout simplement pour se sentir bien dans sa peau. Et ce look lui plait. En revanche, lorsqu’il s’agit de partir en mission, exit les talons aiguilles et les jupes si elle a besoin d’être discrète !
      Comme tout mafieux qui se respecte, Eileen possède un bon nombre de tatouages. Sur sa nuque est tatoué un petit phénix, montrant son besoin de liberté ainsi que sa faculté à renaître de ses cendres ; au bas de son dos se trouve une rose rouge sang dotée d’épines particulièrement empoisonnée, signifiant la beauté empoisonnée de la jeune femme ; sous son poignée gauche se cache le poignard de la vengeance, emblème de la famille Di Calvetti ; une phrase calligraphiée est inscrite sur le dessous de son avant bras droit, il s’agit de « Non dimenticate mai. Mai perdonare. » ; sur sa hanche droite se trouve une petite tombe, souvenir de sa seconde année en taule ; pour finir, un petit serpent, crocs sortis, fait le tour de sa cheville droite, venimeuse la demoiselle.



      DESCRIPTION MORALE :
      Eileen est une jeune femme rusée et pleine de charme. Elle sait manipuler à loisir les hommes aussi bien que les femmes. Elle prend un malin plaisir à tuer ses ennemis et y parvient grâce à son interminable patience, son charisme et sa détermination. Elle aime que tout soit parfait. Oui, c’est une perfectionniste. Avec elle, aucune bavure ni mauvais pas. Elle ne supporte pas de rater ses missions. Elle va toujours jusqu’au bout sauf si des enfants sont impliqués. Il est absolument hors de question qu’elle touche à des enfants. Elle possède, d’après certains, un assez mauvais caractère. Elle peut en effet être froide et désagréable. En revanche, elle ne manque pas de franchise. Elle n’aime pas mentir même si elle est particulièrement douée dans ce domaine. Elle ment seulement lorsque cela lui est nécessaire. Elle peut facilement se fondre dans un environnement et peut se faire passer pour n’importe qui. Elle aurait pu être actrice si elle n’avais pas décidé de rentrer dans la mafia. Mais son manque de pitié l’a poussée à changer de chemin pour aller sur celui de l’illégalité. Elle peut paraître sage mais lorsque vous parvenez à la mettre hors d‘elle, il lui est bien difficile de se contrôler. Eileen n‘est pas le genre de personne à pardonner. Encore moins envers ses amis ou des personnes censés ne pas la trahir. La traîtrise, elle ne la supporte pas et ne la pardonne pas. Voilà pourquoi elle-même n’entuberait personne en dehors de ses ennemis. Elle sait parfaitement qui sont les gens dont elle doit se servir pour réussir et qui sont ceux qu’elle doit éliminer. On la dit rude mais elle se contente d’être jute. On dit aussi d’elle qu’elle est asociale et sensible mais elle aime prouver le contraire. Elle possède du charisme, ce qui lui permet d’approcher ses victimes et de leur donner confiance en elle, et elle a assez peu de sensibilité pour les envoyer en enfer tout en les regardant droit dans les yeux. Eileen est aussi une personne quelques peu égoïste. Voilà pourquoi elle apprécie travailler seule. Aucun coéquipier. Elle n’aime pas partager sa réussite.



      GOÛTS :
      Tout d’abord, Eileen aime beaucoup se maquiller ainsi que s’habiller. Et elle ne choisit pas ses vêtements à la va-vite. Elle prend soin de choisir ceux qui la mettront en valeur. Ensuite, elle aime et exige que tout soit parfait. N’oubliez pas qu’elle est perfectionniste. Elle apprécie un bon morceau de musique parfois, afin de se détendre, de décompresser ou au contraire, de se speeder. Elle apprécie autant le rock que le classique. Elle fume un peu trop aussi. Mais elle ne peut s’en empêcher, il est trop tard pour arrêter. Elle adore la gastronomie. Italienne et Française, cela dépend des jours. Elle aime beaucoup le tir, et ce depuis toujours. Ce fut à quinze ans qu’elle tira pour la première fois. J’oubliais ! Elle aime l’argent. Pour finir dans ce qu‘elle aime, je dirais qu’elle adore se venger.
      Ce qu’elle déteste ? La prison. Vous ne pouvez pas imaginer à quel point elle hait la taule. Elle ferait absolument tout - ou presque - pour ne pas y retourner. Les cinq ans au total qu’elle y a passé ont suffit à la terroriser. Si, je vous jure. Elle possède encore la marque d’une blessure qui lui a été infligée lors d’un interrogatoire et un tatouage ne signifiant absolument rien d’intéressant sur sa hanche droite. Elle déteste les flics. Normal après tout. En revanche, ce fut un agent du F.B.I qui l‘a fit le plus souffrir. C’était lui qui était chargé de l’interrogatoire. Si jamais elle venait à le croiser dans la rue, elle aurait très certainement beaucoup de mal à retenir une balle de venir se loger entre ses deux yeux de psychopathe. Elle ne supporte pas qu’on se prenne pour supérieur à elle, voilà pourquoi elle aime monter les échelons. Rester à bas niveau et être traitée comme de la vermine lui est insupportable. Elle déteste les Russes. Les mafieux Russes. Sans déconner ! C’est une femme à leur tête ! Bref. Pour finir, elle méprise l’injustice.


      UNE CITATION CAPABLE DE TE DECRIRE : « Une femme repousse parfois ce qui la charme le plus. »
      Ou « Le silence, c'est la mort. Toi, si tu te tais, tu meurs et si tu parles, tu meurs. Alors parles et crève ! »
      TA VISION DU MEURTRE : La façon de tuer d’Eileen dépend de la personne qui se trouve face à elle. Habituellement, elle aime que cela soit rapide. Une balle bien placée, mort instantanée et basta. D’autres fois, elle laisse ressortir son côté sadique, généralement pour se venger. Dans ces cas là, elle utilisera plutôt son poignard afin de faire durer les choses.
      TA PLUS GRANDE PHOBIE : La plus grande peur d’Eileen peut paraître ridicule, mais pour elle, c’est une affaire très sérieuse. Elle a tout simplement peur de tomber amoureuse. Allez y, riez. D’après la jeune Italienne, tomber amoureuse l’emprisonnerait et elle ne pourrait donc plus avoir accès à cette liberté qu’elle a tant convoitée. Elle ne serait plus libre de ses mouvements, de ses paroles et très sincèrement, ça la ferait chier. De plus, cela la rendrait très certainement plus sensible et dans ce métier, ce n’est pas une qualité. Tout ça pour dire que l’amour lui faire bien peur ! Vive les relations d'un soir !
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MessageSujet: Re: Eileen Di Calvetti - Second Admin   Eileen Di Calvetti - Second Admin I_icon_minitimeMar 1 Sep - 1:43

    ▬ MAINTENANT, CRACHE LE MORCEAU.





▬ Lontano ricordo ▬
12 juillet 2011 Manoir en Écosse





    Je fermais les yeux. Je les fermais de toutes mes forces. Mes mains étaient coincées dans mon dos. Peut-être étaient-elle attachées, je ne le savais pas, je ne les sentais même plus. Elles étaient engourdies. Mes genoux étaient douloureux. Lorsqu’il avait appuyé sur mes épaules, le sol s’était dérobé sous mes pieds et mes genoux étaient venus heurter le sol de pierres. Ils me lançaient depuis cela. Je ne savais même pas où je me trouvais. Peut-être étais-je encore à la maison. Il faisait sombre je le savais. C’est pour cela que je fermais les yeux. Je ne voulais pas voir. Je ne voulais pas le voir. Même dans cette pénombre, j’étais certaine que ses prunelles argentées arriveraient à croiser les miennes. Il me faisait peur. Je tremblais. Le canon glacé de son arme posé sur ma tempe droite n’arrangeait pas les choses. Allait-il me tuer ? Allait-t-il enfin faire cesser tout cela ? Je ne supportais plus de rester dans cette position. De plus, il tenait mes cheveux dans sa main gauche. Il les tirait même. Une douleur de plus...

    Un bruit était survenu au dehors. Je reconnaissais la voiture de mon père. Il ne fallait pas qu‘il rentre. Il ne méritait pas de mourir. S’il était avec ma mère, cela ne ferait qu’empirer les choses. La main qui maintenait ma tête fermement vers l’arrière me lâcha doucement. Ma tempe retrouva la chaleur de la pièce. L’homme s’éloigna. Un bref « clic » suffit à me faire comprendre que son arme était toujours pointée sur moi et qu’il venait juste de la charger. Je me redressais doucement et me décidais enfin à entrouvrir un œil, puis l’autre. Je ne voyais absolument rien en dehors d’un bref rayon de soleil en haut des marches en bois. Ces mêmes marches sur lesquelles l’homme était entrain de marcher. J’étais à la maison. Dans la cave. Au pied de l’escalier. Je tournais doucement la tête de chaque côté. Je ne voyais que la pénombre mais je savais tout ce qui se trouvais là. Combien de fois avais-je joué à cache-cache ici ? Cette pièce, je la connaissais mieux que ma poche.

    - Si tu bouges, tu y passes aussi.

    Une phrase brève mais claire qui me fit trembler. Je comprenais là dedans qu’il comptait s’éloigner. Sinon pourquoi me mettre en garde ? C’était peut-être ma seule chance de m’en sortir. Je tentais de délier mes mains dans mon dos cependant que l’homme arrivait en haut de l’escalier. Il me lança un regard terrifiant. Je me glaçais sur place. Enfin, il disparut dans le couloir. En une fraction de seconde, je fut debout. Mes amis pensaient que j’étais quelqu’un de trop téméraire. Mais ils se trompaient. J’étais simplement courageuse. Je sautais à pieds joins jusqu’au vieux meuble en pin puis m’y installais. Mes mains toujours liées entrèrent en contact avec l’ancienne étagère de cuisine se trouvant sur le meuble. J’ouvrais tous les tiroirs dans l’espoir d’y découvrir quelque chose de tranchant. Rien. L’étagère était totalement vide. Normal en même temps. Elle ne se trouvait pas dans la cave pour rien.

    Un cri étouffé, un silence monstrueux, un coup de feu puis une balle qui atteint sa cible. Mon cri, je l‘avais retenu. Je ne préférais pas savoir qui avait été tué même si le hurlement venait de ma mère. Peut-être que mon père s’était fait tuer sous ses yeux ? Ou était-ce elle ? Je n’en savais encore rien. Je savais seulement que je devais sortir de la cave, me détacher et retrouver ma famille, ou du moins, ce qu’il en restait…

    Je gravis les marches à pieds joins, trébuchant deux fois et manquant de tomber pour de bon à plusieurs reprises. Mais je n’étais pas décidée à abandonner. Je savais que je ne servirais pas à grand-chose dehors et que je risquais même d’y passer. Mais je n’en avais rien à faire. Je voulais simplement voir mes parents. Je franchit enfin la dernière marche et continua de sautiller. Cette fois ci, je me dirigeais vers le placard à couverts où se trouvaient les couteaux de cuisines de ma mère. Avec ça, pas le moindre problème pour me détacher. J’en saisis un en regardant par-dessus mon épaule et trancha la corde. Je m’attaquais ensuite à mes pieds pour enfin les délivrer. Sans même m‘en être rendu compte, j’étais déjà presque dehors. Je me mise à courir comme une dératée. J’avais tellement peur en réalité. Je ne voulais pas de nouveau déménager ni perdre quelqu’un qui comptait pour moi. Je franchis l’avant dernière porte puis me stoppa. Pétrifiée. Ma mère était là, sur le sol. Je savais qu’elle est morte mais je m’obstinais à croire le contraire. Je m’étais jetée à son côté, mes genoux heurtant de nouveau le sol. En y regardant de plus près, ce n’est pas réellement sur le parquet que j’avais atterrit mais dans une marre de sang. J’esquissais alors un mouvement de recule jusqu’à me coller au mur derrière moi. Un mort. C’était la première fois que j’en voyais un d’aussi près. Et c’était ma mère...
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MessageSujet: Re: Eileen Di Calvetti - Second Admin   Eileen Di Calvetti - Second Admin I_icon_minitimeMar 1 Sep - 1:46

▬ Realtà ▬
14 Juillet 2011 Hôpital en Écosse




    - Papà...
    - Je suis là chérie.
    - Et mamma ?

    Pourquoi ne me répondait-il pas ? Je pouvais sentir sa main chaude tenir la mienne. Il la serrais. Un peu trop fortement même. Que se passait-il ? Il me faisait mal. Je me décidais donc à reprendre ma main. Je ne savais encore pas où je me trouvais ni le jour de l‘année que nous étions. Je savais simplement que j’avais un mal de tête horrible. Je ne me souvenais même pas de la façon dont j‘étais arrivée ici. Mon dernier souvenir remontait… à quand déjà ?...

    - Mamma !

    Je m’étais redressée dans mon lit sans même l’avoir remarqué. Cette fois-ci, c’était moi qui serrais la main de mon père. Il me regardais avec ses yeux azurs. Ils reflétaient une tristesse atroce. Je n’avais donc pas rêvé. Ma mère était morte. Sous mes yeux qui plus est. Ceux-ci se fermèrent doucement, laissant seulement passer le torrent de larme que j’avais à verser. Mon père me prit dans ses bras. Je me sentis tout de suite mieux. Je l’aimais tellement. Je ne supporterais pas de le perdre lui aussi. Stoppant notre étreinte, je me laissais aller sur le lit avant de m‘endormir. Je ne savais pas comment je parviendrais à passer cette nuit. Mes rêves ne seraient que cauchemars…

    - ... vous inquiétez pas. Elle est déjà rétablie. Vous pouvez dès à présent commencer à rassembler ses affaires. Elle peut rentrer.
    - Merci docteur.

    La porte de ma chambre s’ouvrit, ainsi que mes yeux. C’était mon père. Toujours en costume sombre. Il semblait plutôt heureux. Ou était-ce une simple façade ? D’après ce que j’avais pu entendre, j’étais enfin autorisée à rentrer à la maison. Elle allait paraître tellement vide la grande maison sans mamma. Je n’avais presque plus mal à la tête. J’aurais tout de même aimé comprendre ce qu’il s’était passé. Je n’appréciais pas tellement d’être tenue à l’écart, même si c’était mon âge qui l’obligeait. Tout de même… qui c’était ce type à la maison ? Pourquoi m’avait-t-il attachée dans le sous sol ? Et surtout, pourquoi avait-il tué ma mère ? Je m’installais sur mon lit, attrapais le sac que mon père venait de poser sur le lit et commençais à y mettre mes effets personnels. Une heure plus tard, nous étions de retour.

    - Ne déballe pas ton sac Eileen. Nous ne restons pas.
    - Quoi ? Pourquoi ?
    - J’ai acheté une maison en France, nous y emménageons cet après-midi.
    - Non papà, je ne veux plus déménager, j’en ai marre !
    - Tu ne comprends donc pas ! S’ils reviennent, je ne supporterais pas qu’ils te tuent toi aussi !

    Je restais sans voix. Me tuer ? Moi ? Mais pourquoi ? Et qui c’était ça « Ils » ? Je ne les connaissais pas moi. Pourquoi ne voulait-il jamais rien m’expliquer, je n’étais plus une gamine. Je pensais avoir le droit de comprendre ce qui se passait. Mon père avait toujours été quelqu’un de louche, je l’avais toujours su. Voilà pourquoi nous avions sans cesse des ennuis. Tout cela était de sa faute. C’était à cause de lui si mamma était morte.

    - C’est de ta faute tout ça ! T’es même pas un bon père !







▬ Mutamento ▬
21 Février 2015 Manoir en France




    Le soleil me brûlait la peau, mais je m’en contre fichais. Je regardais le ciel. Le ciel bleu. Il n’y en avait pas beaucoup en Écosse mais cela arrivait parfois. Ici, en France, je n’avais même pas d’amis. D’ailleurs, je n’avais jamais vraiment le temps de m’en faire ni d’apprendre la langue du pays. J’avais vécu dans tant d’endroits ! Je ne sais pas où mes parents avaient pu vivre avant ma naissance, mais moi, j’étais née en Écosse. Quand j’avais trois ans, nous sommes partis en Italie. Le pays d’origine de mon père. Nous n’y sommes pas restés longtemps car une attaque comme celle de la dernière fois s’était produite. Nous sommes ensuite allés en Californie. J’avais cinq ans. Pour mes neuf ans, nous nous sommes installés en Suisse. C’était affreux là-bas. J’avais totalement détesté. J’avais tellement fait de crises que nous avons par la suite déménagé dans un nouveau manoir en Écosse. Mon pays. Malheureusement, nous avons de nouveau déménagé. En France. J‘avais quatorze ans.

    - Eileen, ta leçon de tir. Dépêche toi !

    A contrecœur, je m’étais décidée à me détourner de la fenêtre et commença à descendre les escaliers. Oui je prenais des cours de tir. Mon père m’y obligeais. Il voulait que je sache me défendre pour « la prochaine fois ». Je ne souhaitais pas de prochaine fois. Ce que je souhaitais, c’était simplement de comprendre. J’arrivais dans la salle d’entraînement et mon père me tendit un casque. Malgré moi, je lui prit des main et le mis sur mes oreilles. Il avait changé les cibles. Le jour précédent, les cibles étaient tout simplement noire et blanches. Mon père les avaient remplacées par des mannequins. Voulait-il vraiment me faire tuer des gens ou étais-je en train de me tromper ?

    - Chérie, aujourd’hui, tu vas essayer une nouvelle arme.

    C‘était à cet instant qu‘il me l‘avait tendu. Il était en argent. Ou du moins, couleur argent. Il était vraiment magnifique. J’avais déjà envie de tirer avec. Le Desert Eagle. Je le pris des mains de mon père mais manqua presque de le lâcher. Combien pesait ce truc ?! Il faisait deux kilos mais je n’avais pas eu cette impression ! Avec beaucoup de difficulté, j’avais levé les bras et placé l’arme devant moi. Mes bras avaient d’ailleurs bien du mal à rester tendus. Mes deux mains serraient l’Eagle. Il étincelait avec le soleil. Il était incroyable, j‘étais déjà certaine de ne jamais me débarrasser de lui. J’avais l’impression d’être invincible lorsque je le tenais. Mon père me rappela qu’il était peut-être temps de tirer. Il se plaça à côté de moi et me montra comment procéder. Pareil que les autres quoi. Je fixais la cible et me concentrais sur elle. Enfin, je me décidais à presser la gâchette, et le coup partit, projetant mes bras en arrière et moi avec. Je me relevais, la main sur mon derrière qui venait d’heurter le sol. Mon père était aux anges.

    - Bravo ma chérie ! En plein dans la tête ! Tu m’impressionne beaucoup sur ce coup là tu sais ?

    Face à son enthousiasme, je me suis décidé à ne jamais lui révéler que c’était le cœur qui était visé…


Dernière édition par Eileen Di Calvetti le Mar 1 Sep - 1:48, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Eileen Di Calvetti - Second Admin   Eileen Di Calvetti - Second Admin I_icon_minitimeMar 1 Sep - 1:47

▬ Rivelazione ▬
9 Septembre 2015 Manoir en France




    Le temps passait. J’habitais toujours avec mon père en France. Étrangement, nous n’avions toujours pas déménagé. C’était plutôt une bonne chose mais l’Italie et l’Écosse me manquaient. L’Italie étant la plus proche, j’abordais le sujet d’un petit voyage avec mon père. Ou peut-être même d’y retourner pour y vivre. Il rétorqua que c’était une très mauvaise idée et qu’il en était absolument hors de question. Je fronçais les sourcils et me levais de table.

    - Mais enfin pourquoi ? Qu’est-ce que tu as à te reprocher papa ?
    - Eileen...
    - Arrête ! Je veux tout savoir désormais. Tu me dois des explications. Pour ton travail et la mort de maman. Quelque chose me dit que ce sont des choses étroitement liés n’est-ce pas ?
    - Très bien, je vais tout t’avouer...

    Enfin. Je repris ma place sur ma chaise. Mon père me rejoint et s’installa à mon côté. Il me regarda droit dans les yeux et prit mes mains. Était-ce si grave que ça ? Il soupira puis se lança enfin dans ses explications.

    - Tout a commencé en 1993. Année pendant laquelle j’ai réellement commencé à travailler. Mon père venait de décéder. Ma mère me révéla enfin ce que je m’apprête à te dire... Notre famille pratique des activités illégales depuis... depuis très longtemps. Tu vois ce tatouage sur mon bras ? Il représente le Poignard de la Vengeance. C’est l’emblème de notre famille. Nous ne pardonnons pas, nous n’oublions pas et nous nous vengeons. C’est nous Eileen, les Di Calvetti.
    - Quoi, on est un genre de compagnie familiale maléfique ? Ça me rappelle la mafia.
    - ... Tu as tout compris Eileen. Cosa Nostra, Mafia sicilienne que j’ai intégrée cette fameuse année 1993. Malheureusement, j’ai fait une erreur à ne pas commettre. Une de mes missions en Russie consistait à tuer un vieux mafieux qui risquait de dévoiler nos activités. Je n’ai pas cherché à en savoir plus, j’y suis allé et j’ai accompli ma mission. Seulement, il y avait cette fille...
    - Mamma ?
    - Oui. J’en suis tombé amoureux. C’était une mafieuse elle aussi. Elle était Anglaise mais avait intégré la mafia Russe. Autrement dit, cela m’était totalement interdit de l’aimer. Du moins le temps que je fais partit de Cosa Nostra.
    - Mais tu en fera toujours partit, non ?
    - Exact. Seulement, lorsqu’elle m’a annoncé qu’elle était enceinte, j’ai profité de ma mission en Angleterre pour m’enfuir. Depuis, je pense qu’ils me recherchent. Ensuite, tu es née et nous avons commencé une nouvelle vie avec ta mère. Lorsque tu avais onze ans, elle s’est faite tuée. Ma mission en Angleterre, c’était elle.
    - Tu ne l’as pas remplie et maintenant, ils veulent ta peau... Les mafieux Italiens.
    - Eileen. Je t’ai écris tout ce que tu dois savoir dans une lettre que j’ai placée sous ton oreiller. Je pars ce soir même. Tu ne me reverras plus.
    - Quoi ?
    - Maintenant que tu es au courant, tu dois te débrouiller. Je te fais confiance pour intégrer Cosa Nostra et surtout, ne pas faire de faux pas. Si tu t’enfuis, ils te tueront. Ainsi que si tu révèle tes origine. Je te fais confiance. Je t’aime ma chérie...








▬ Errore ▬
8 Octobre 2018 Phoenix USA




    - Noms et prénoms ?
    - Di Calvetti, Eileen Maede.
    - Age ?
    - 18 ans.
    - Nationalité ?
    - Italienne.
    - On peux savoir à quoi t’as joué ce soir Di Calvetti ?
    - Ça s’est vu non ? Je braquais une banque.
    - Ah tu veux jouer à ça ! Emmenez là, j’interroge son copain en premier.

    Et voilà. J’avais tout fais rater. David allait très certainement être furax et j’espérais vraiment ne pas être dans la même cellule que lui. Je voulais pas vraiment me faire casser la gueule. C’était lui le cerveau, je risquais donc moins que lui. Il avait tout préparé pour le braquage, mais la banque, c’était certainement un peu trop pour nous. A peine les sacs remplis, voilà que la secrétaire avait appelle les flics. On a pas été très observateurs ni très agiles. On n’avait même pas de tactique. Seulement un plan foireux. Deux gars se sont fait tuer. Un autre blessé. Et nous, nous voilà en taule. Génial. Quel plan pourri. Jamais je n’aurais dû accepter.

    J’entrais dans la cage. Il y avait déjà trois personnes dont deux prostituées qui me regardaient de haut. C’était quoi leur problème ? Je préférais ne pas m‘asseoir. Je n’étais plus vraiment suicidaire. Je restais donc debout, me tenant aux barreaux. Alors que j’attendais que ce soit à mon tour d’être interrogée, j’entendais les autre discuter et se raconter leur vie et de quelle façon ils s‘étaient tous fait coincer. Personnellement, j’en avais rien à faire.

    - Fermez là un peu !

    Ils me regardèrent tous avec leurs airs ahuris, ce que je pouvais les détester ! Je compris que je ne pouvais faire confiance à personne. Même à mon père. J’avais d’ailleurs appris qu’il s’était fait descendre. Bravo. Il n’avait pas fuit assez loin apparemment. En ce qui me concernait, Je ne préférais même pas essayer d’entrer officiellement dans la Cosa Nostra vue la trahison de mon père. J’avais plus de chance de me faire buter que d’y être acceptée.

    - Di Calvetti, à ton tour.

    Le gardien m’attrapa fortement le bras avant qu’un de mes poings vint écraser son gros pif, qui s’était mis à saigner. Il parut surpris sur le coup et j’étais certaine qu’il ne me rendrait pas mon coup. Je l’avais donc laissé et m’étais éloignée jusqu’à la salle d’interrogatoire. Ils se demandèrent tous où pouvait bien être le gardien. Pour leur répondre, je leur avait simplement lancé un sourire des plus satisfaits. En perdant mon sourire, je m’installais devant le flic et le regardais avec mépris. Il ne sembla absolument pas déstabilisé. Mais c’était tout à fait normal, il avait très certainement l’habitude.









▬ Libertà ▬
14 Novembre 2019 Miami USA




    Cela faisait presque une semaine que j’étais sortie de taule. Un an que j’y étais. S’ils savaient tout ce que j’avais fait avant ce braquage raté, j’y serais certainement resté plus longtemps. Mais c’était plutôt cool, parce que même un an, quand on est en prison, ça paraît être l’éternité. Je considérais donc avoir payé l’entièreté de mes fautes. Je m’étais même tirée de Phoenix pour venir à Miami. J’avais évidemment laissé David en arrière. Il était certainement toujours en prison. Normal, je l’avais balancé comme étant le cerveaux. Ce n’était pas dans mes habitudes de balancer mais ce type m’était complètement égal. Je m’étais même rendue compte qu’en dehors de Cosa Nostra, j’étais totalement seule et il m’a semblé qu’il était temps de leur annoncer que Mr Di Calvetti avait une fille prénommée Eileen et qu’elle souhaitait à son tour entrer officiellement dans la famille.

    J’emballais donc mes affaires et ressortis la lettre de mon père. Heureusement que je ne l’avais pas perdue. Toutes les informations nécessaires pour retrouver la famille y étaient inscrites. Mon père devait vraiment avoir une confiance énorme en moi pour me confier tant d’informations sans même savoir si j’allais les rejoindre ou les dénoncer. Mais il n’avait plus à s’inquiéter, mon choix était fait.


Dernière édition par Eileen Di Calvetti le Sam 12 Sep - 14:00, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Eileen Di Calvetti - Second Admin   Eileen Di Calvetti - Second Admin I_icon_minitimeMar 1 Sep - 1:49

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26 Janvier 2022 Miami USA




    Je courrais, je courrais à en perdre haleine. Je ne rangeais pas immédiatement mes armes, au cas où quelqu’un me tombait dessus. Les flics ne devaient pas être loin et si je ne rejoignais pas la voiture bientôt, je risquais de me faire chopper. Soudain, un type surgit sur ma droit et me heurta de plein fouet avant de me faire tomber au sol. Il m’attrapa à la gorge et me désarma. Je ne savais pas qui il était mais je ne comptais pas le laisser faire foirer ma mission. Ce soir, j’avais déjà commis une erreur en m’attaquant à la mauvaise personne. Heureusement que j’avais tout de même rattrapé le coup mais j’avais tout de même tué une personne innocente. Cette connerie allait certainement me rester en tête et me hanter un bon moment mais je ne voulais pas aller en prison. Je souffrirais bien assez de cette bêtise. J’envoyais donc mon genou dans l’entrejambe du type qui tomba à la renverse. Alors que j’attrapais mon arme, un coup fut tiré.

    Lorsque j’ouvris enfin les yeux, je compris que c’était moi qui avais prit la balle. Dans le bras gauche apparemment vu la façon dont il me lançait. Je ne me trouvais pas dans un simple hôpital mais dans l’hôpital de la prison. De nouveau la taule. Je sortis du lit et plaqua mes mains sur la porte. Je criais tellement fort qu‘un type s‘était décidé à venir. J’avais été arrêtée pour meurtre et je risqu d’en prendre pour perpette ou même la peine capitale. Je le savais désormais, j’allais crever ici… en taule.

    - Alors, récapitulons.
    Vol à main armée à 15 ans.
    Braquage de bijouterie à 16 ans.
    Braquage de banque à 18 ans.
    1 an de prison entre 2018/2019
    Et double meurtre, à 21 ans donc.
    C’est exact ?

    - Je dois dire que... Vous manquez cruellement d’infos, lui lançais-je avec cet air satisfait que j’ai souvent.
    - Et bien, tu va passer le reste de ta sale petite vie en taule ma jolie, sauf si le juge est assez clément pour t’infliger la peine capitale.
    - Ok.

    Cette simple réaction sembla le mettre en rogne. Il se leva me toisa de toute sa hauteur J’avais une terrible envie de lui foutre mon poing dans la tronche mais mes deux mains étaient malheureusement inutilisables, la droite étant fixée à ma chaise, et la gauche, coincée dans des bandages. Je pensais que l’interrogatoire était terminé mais cet enfoiré avait encore quelques questions.

    - Pour qui tu travailles ?
    - Pardon ? Je ne travaille pour personne en dehors de ma petite personne.
    - Bien sûr...

    Cette réponse ne sembla pas lui convenir si bien qu’il m’envoya son poing dans le visage. Rouge de rage, je me levais de la chaise et m’avançais vers lui. Mes deux mains avaient beau être inutilisables, ce sale type du FBI ne me faisait pas peur. Pour me retenir, il m’attrapa le bras gauche et appuis de toute ses force. Je souffrais mais tentais de ne pas le montrer. Au final, j’avais tellement mal que ce fut ma tête qui vint heurter la sienne. Il se prit le mur de derrière avant de foncer sur moi. La plupart des coups qu’il me donnait atteignaient ma blessure ou mon visage mais heureusement, ses collègues le calmèrent et il reprit ses questions.

    - Ok. Deuxième essai. Pour qui tu travailles ?
    - Je vous l’ai déjà dis, je ne travaille pour personne !
    - Sale menteuse ! On sait parfaitement que ton père faisait partit de Cosa Nostra. Il a été éliminé et….
    - Espèce d’enfoiré !

    De nouveau, il me frappa. Je m’en souviendrai de lui. Je vous jure qu’il le paiera. Je le tuerais. Il avait une tronche de psychopathe en plus. C’était lui qu’il fallait enfermer et non moi.

    - C’est vous qui l’avez tué hein ?
    - Ce n’est pas moi personnellement. Alors. Réponds maintenant. Fais-tu toi aussi partit de Cosa Nostra ?
    - Connais pas, répondit-je avec un air provoquant.

    Je ne comptais pas cracher le morceau, pour qui me prenait-il celui là ? Il continuait de me tabasser et moi, j’encaissais. Du moment qu’il ne me torturait pas, je pouvais encore supporter. Je ne dis mot sur la mafia et repartis tout de même en taule et ce pendant trois longues années. Moi aussi, j’avais sérieusement pensé y rester plus longuement. Voire à tout jamais. Mais un évènement imprévu s’était produit…








▬ Culo ▬
16 Octobre 2024 Miami USA



    - D’après les aveux de Monsieur Lieto, il serait le coupable du double meurtre de ce fameux soir du 26 Janvier 2047. Il sait parfaitement comment s’est déroulée la scène. Il nous a fournit bon nombre de détails. Il n’arrête pas de répéter qu’il est le tueur et que ses souvenirs le hantent la nuit. Il s’est livré lui-même à la police hier au soir. Il a un mobile pour avoir tué les deux personnes et d’après toutes les questions que nous lui avons posées, il semble rester sur sa position. Ce qui innocente Mademoiselle Di Calvetti.

    - Je ne suis pas d’accord ! Ce type est un cinglé, je suis certain qu’il pourrait avouer qu’il a fait équipe avec les terroristes des attentats à New York.

    - Peut-être, mais en attendant, des aveux sont des aveux.

    Quelques jours plus tard, j‘étais à nouveau dehors. Quel bonheur de revoir le ciel alors que j’étais certaine d’y rester. J’avais quelques projets en tête comme retirer un peu d’argent, refaire ma garde robe et prévenir Cosa Nostra que j’avais été libérée. Je ne les rejoindrais pas immédiatement cependant. Les gars du FBI devaient encore me surveiller de près. J’attendrais 2025 avant de reprendre du service.
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MessageSujet: Re: Eileen Di Calvetti - Second Admin   Eileen Di Calvetti - Second Admin I_icon_minitimeMar 1 Sep - 1:52

    ▬ FAIS-VOIR TA QUINCAILLERIE.

      ARMES A FEU :

      BERETTA 96 INOX STAINLESS ( x 2 )
      Spoiler:

      DESERT EAGLE MARK XIX
      Spoiler:

      ARMES BLANCHES :

      POIGNARD MUELA - MIRAGE
      Spoiler:

      POING AMÉRICAIN
      Spoiler:

      VEHICULE :

      ASTON MARTIN VANQUISH S
      Spoiler:



    ▬ T’ES QUI EXACTEMENT ?

      PSEUDO : Nemesis
      AGE : 17 ans
      TU PENSE QUOI DU FORUM & DE SON DESIGN : J’aime !
      Comme j’aime toute les créas de ma Choupette en fait ! <3
      COMMENT TU NOUS AS CONNUS : Disons que je l’ai co-fondé…. En fait… XD
      SÉRIEUX, TU COMPTE PARTICIPER : Évidemment !
      OK, ALORS BALANCE LE CODE : Hin hin, pas besoin, je l'ai lu le règlement MOI ! XD
      ET LE NOM DU GARS/DE LA NANA SUR TON AVATAR : Eva Green
      TEXTE A METTRE SOUS TON AVATAR : Pas la peine, c’est déjà fait XD
      T’AS ENCORE UN TRUC A DIRE : J'peux RP maint'nant ? *je sors*
      Bon sinon, je sais que c'est long et que ça ressemble plus tellement à une fiche classique mais pas taper hein Donounet ? *je re-sors*
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